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Ousmane crie au complot d’avant les élections.

Asrarpress

Le senégal est le théâtre depuis mercredi d’affrontements entre jeunes et forces de sécurité, de pillages et de saccages. L’arrestation d’Ousmane Sonko, troisième de la présidentielle de 2019 et pressenti comme un des principaux concurrents de celle de 2024, a provoqué la colère de ses partisans, mais aussi, disent de nombreux Sénégalais, porté à son comble l’exaspération accumulée par la dégradation, au moins depuis le début de la pandémie de Covid-19 en 2020, des conditions de vie dans un pays déjà pauvre.

Un collégien a été tué samedi à Diaobé, dans le sud du Sénégal, selon des sources de sécurité, portant à cinq le nombre de morts.

Les autorités sénégalaises ont annoncé dimanche suspendre l’école sur tout le territoire à partir de lundi et pour une semaine en raison des troubles auxquels le pays est en proie depuis mercredi.

Il s’agit de « protéger les élèves, les enseignants et l’administration scolaire des manifestations accompagnées de scènes de violence qui ont fortement perturbé le déroulement des enseignements-apprentissages la semaine dernière », ont indiqué les ministères de l’Education nationale et de l’Emploi dans un communiqué commun publié sur Facebook.

« Complot »

Ousmane Sonko a été arrêté officiellement pour trouble à l’ordre public, alors qu’il se rendait en cortège au tribunal où il était convoqué pour répondre à des accusations de viol portées contre lui par une employée d’un salon de beauté dans lequel il allait se faire masser pour, dit-il, soulager ses maux de dos.

Personnalité au profil antisystème, le député crie au complot ourdi par le président pour l’écarter de la prochaine présidentielle

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